La publication officielle des offres de travail dans les médias, la presse et sur internet est fixée par des dispositions légales qui favorisent l’égalité à l’embauche, mais aussi touche la sécurité des futurs employés. Ainsi, les propos obligatoires et d’interdiction sont applicables aux offres pour éviter toute discrimination du recruteur.
Il y a seulement trois principes fondamentaux qui conditionnent les lignes directrices d’une offre d’emploi légale :
Comme déjà cités dans le second principe, plusieurs termes ne doivent pas être utilisés dans les offres d’emplois. Il ne faut pas spécifier le sexe recherché sauf pour certains cas où seul un homme ou une femme seraient raisonnablement appropriés aux tâches. De même, il ne faut jamais citer des propos discriminants sur l’âge maximal, la situation familiale, les appartenances religieuses ou parties politiques, les handicaps physiques, etc. certains de ces termes peuvent être cependant spécifiés si les raisons sont objectives.
Il est aussi spécifié qu’il ne faut pas faire des offres d’emplois mensongères qui ont pour objectif de tromper les candidats sur les termes de l’offre. Par exemple : pour les salaires, les logements et autres avantages.
Plusieurs textes législatifs justifient ces propos et les deux parties prenantes du contrat de travail sont incitées à les consulter dont précisément la Loi n° 2001-1066 du 16 novembre 2001, les articles L121-6 du Code du travail concernant la discrimination (L. 122-45-1, L. 122-45-2, L. 122-45-3, L. 422-1-1, L123-1 et R123-1, L311-4, L631-4, L711-3), les articles L. 225-1, L. 225-2, L. 225-3, L. 225-4 du Code pénal.
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